Roxane Maurer

Artiste peintre – 1960-2014

Publications

"Célébration" - Récit poétique de Francis Vladimir - Couverture de Roxane Maurer — éditions Pont 9 - 2018

"Célébration" - Récit poétique de Francis Vladimir - Couverture de Roxane Maurer - publié aux éditions Pont 9 - Le livre sera en vente fin juin 2018.
Célébration est un recueil de l’intime. Pour autant que cela soit possible. Le propos en est simple.
Célébrer par les mots la ronde des saisons. Les mots sont refuge. Ils sont aussi piège. Le sens naît souvent par accident. La succession de courts textes a été une manière de penser les saisons, de s’en approcher, de s’y accoutumer, de les fêter ou de les (...)

"La Grande Mémé des Albères" - Récit poétique de Francis Vladimir - Acryliques & encres de Roxane Maurer - publié aux éditions Bérénice

"La Grande Mémé des Albères" s’inscrit dans une continuité et une proximité, celles de la poésie et de la peinture. Le territoire où naquit le poète, le Roussillon, l’Espagne coupée en deux par la guerre civile de 1936-1939, et la lecture de Gabriel Gacia Márquez ont convoqué ce récit. Ici, la peinture de Roxane Maurer crée une matière inspirée du végétal.

Hommage à Roxane Maurer - "Chemins de traverse" lui consacre son numéro de décembre le n°45

Annie Maurer, qui signait ses oeuvres Roxane Maurer, nous a quittés. Amie et fidèle ursidée, nous avons tenu à lui rendre hommage dans les Chemins de Traverse, qu’elle contribua à développer avec le dossier des « Ateliers du Centre ». Nous avons demandé à Francis Vladimir de diriger ce dossier...

Place de la Sorbonne - Numéro 2 - avril 2012

Dix mots et dix définitions pour saluer Roxane Maurer
Après avoir fait l’expérience d’une vie ordinaire, Roxane Maurer va maintenant devoir faire l’expérience d’une vie extraordinaire.
Les sensations qu’elle éprouve sont des sensations durables.

« Crever la route » - novembre 2011

Dans le livre « Crever la route » une série d’images sont proposées dans une rencontre singulière entre la poésie et les arts visuels.
Dans sa pratique des « picto-clichés », Roxane Maurer met en perspective le dessin, la photo, le texte, elle invente une mise en images de ces pratiques en explorant l’art numérique.
Au fil des interrogations, elle cherche de nouvelles voies poétiques, picturales, esthétiques.

Volu(p)tes - juin 2010

Chaque artiste, selon son tempérament, compose avec ou s’insurge contre le fait
que l’œuvre est un « règlement de compte ».
L’artiste parfois peut même se dire conscient : je traite de cela afin de solder la question... Dans son livre, Jehan Van Langhenhoven nous montre que rien n’est soldé définitivement.
L’ ambition esthétique de Roxane Maurer se veut limitée, plutôt commandée par le désir de transformer le négatif en positif.

Citoyen Robespierre - 2010

Le peuple ne demande que le nécessaire, il ne veut que justice et tranquillité ; les riches prétendent à tout, ils veulent tout envahir et tout dominer. Les abus sont l’ouvrage et le domaine des riches, ils sont les fléaux du peuple ; l’intérêt du peuple est l’intérêt général, celui des riches est l’intérêt particulier - Club des Cordeliers, 20 avril 1791. Ces mots sont de Maximilien Robespierre.

L’annonce faite à Venise - 2010

Francis Vladimir et Roxane Maurer ont souvent collaboré ensemble. Ce qui les lie esthétiquement se donne à voir dans une certaine forme d’expression de l’espace et du lumineux. Venise espace, Venise lumière. Dans ce recueil, à la dimension de la temporalité s’adjoint la question de l’utopie. Exprimer le temps c’est participer aux interrogations que portent l’architecture. Venise où l’ouverture vers un ailleurs, vers les autres, donne des repères peut-être pour dépasser rien qu’un instant cette haine de soi si présente dans les villes d’aujourd’hui.

Nais. Nais ! Tout ! Tout... - 2007

Le dernier recueil de Jehan Van Langhenhoven, illustré avec talent par Roxane Maurer, nous plonge dans ce que le langage a peut-être de plus fondamental, la vacuité de l’être, et cette tentative permanente, plus ou moins évidente selon les locuteurs (les logopodes, dirait Jehan), de communiquer l’incommunicable, l’irréductible. Et pour atteindre à ce qu’on pourrait désigner ici comme le noyau dur de l’essence, l’auteur réussit le tour de force d’utiliser en même temps le langage dans ce qu’il a à la fois de plus riche et de plus dépouillé...